Si vous êtes là, c’est que vous souhaitez en savoir plus sur le blog et sur moi, alors bonne lecture et encore bienvenue!!!

Il s’adresse aux couturières de tous niveaux qui se concentrent particulièrement sur la couture de vêtements féminins!

Mais surtout, il s’adresse aux couturières qui aiment coudre et qui en ont marre de :

  • s’éparpiller dans cette passion, et souhaite réellement aller à l’essentiel,
  • Coudre des vêtements qui finalement ne leur vont pas, ou bien qu’elles ne mettront jamais du fait de mauvais choix (patrons / tissus)

Qu’apprendrez-vous sur ce blog?

Vous apprendrez à vous organiser dans votre passion, pour, à terme, confectionner des vêtements réussis qui vous vont parfaitement. Et pourquoi pas, vous apprendre à confectionner et constituer votre garde-robe capsule?

Comment je compte m’y prendre?

Les objectifs

Pour parvenir à vous apprendre ceci, je compte vous aider à:

  • Vous organiser,
  • Faire les bons choix (patrons/tissus)
  • Adapter les patrons à votre morphologie
  • Constituer votre garde-robe,
  • Réussir vos confections.

Les moyens

Ces apprentissages prennent des formes différentes, puisque: 

Qui suis-je?

Quelques infos en vrac:

💁🏼‍♀️Je m’appelle Florence Hoarau (ex Cordelette, d’où le nom de mon blog).

🧵Je suis couturière et formatrice couture, 📝 blogueuse et 💻 entrepreneuse du web.

Je vis dans la région bordelaise avec mes 2 enfants👩‍👧‍👦, depuis 2008.

Je suis originaire de l’île de la Réunion 🏝 (j’aime bien le dire, ça me donne un côté exotique).

Je n’ai pas toujours été couturière, mais ça je vous l’explique dans ma lettre ci-dessous, donc si vous souhaitez en savoir plus sur moi, ça se passe ici ⬇️.

Lettre à ma passion couture

Chère passion,

Tu m’as sauvée … 

Oui, je sais, cela peut te paraitre un peu « too much » que j’écrive ceci, et pourtant…

Je t’explique pourquoi immédiatement, mais pour cela, permets-moi de faire un petit retour dans le temps…

« Nous sommes en septembre 2012. 

J’habite en gironde depuis quatre ans et tu ne fais pas encore partie de ma vie.

Cela fait 3 ans que je travaille en tant que « mandataire judiciaire » – nom pompeux pour dire « tutrice » ou encore « déléguée à la tutelle»… Bref, travailleur social, en somme! 

Malheureusement, chaque jour qui passe, me voit glisser un peu plus dans une sombre mélancolie.

À l’époque, je dresse des listes de “pour et contre” concernant ma situation professionnelle. 

Et malgré ce mal-être grandissant, c’est toujours la sécurité de l’emploi qui gagne ce combat déjà perdu d’avance, d’une situation sans plan B.

Face à cette triste conclusion, je décide que je dois accepter ma vie telle qu’elle est et réussir à prendre du recul sur mon travail.

Pleine de certitudes, j’ai donc consulté un hypnothérapeute afin d’être accompagnée sur le chemin de l’acceptation.

Mon déclic s’est manifesté lors de  la troisième consultation. 

Petit problème: ça ne s’est pas du tout manifesté comme je l’avais envisagé… 

Il s’est tout simplement produit l’inverse de l’acceptation!! 😬 

Je vais tout de même te raconter comment ce déclic a eu lieu.

L’hypnothérapeute m’a virtuellement mise sur une ligne du temps, matérialisée par les carreaux du carrelage.  

J’étais dos à mon passé et face à mon futur (plutôt logique, me diras-tu!). 

La question était simple : « Si vous ne changez rien à votre situation que se passera-t-il dans 10 ans, 15 ans, 20 ans… ?

Et en toute honnêteté, mon mal-être de l’époque était si profond, que je me suis imaginée que si rien ne changeait, je finirais par me perdre dans les méandres de la mélancolie, de la morosité et de l’aigreur d’ici 15 à 20 ans.

Ça n’a rien de joyeux, je te l’accorde, mais c’est pourtant bien ce que j’ai ressenti. 

Cette intense souffrance a eu sur moi l’effet d’un électrochoc et s’est très vite transformée en bénédiction!

Il n’était pas question de vivre une vie entière de mélancolie.

Je t’épargne les étapes mais, en février 2013, même si ce fut difficile pour moi de quitter la sécurité de l’emploi (salaire, congés payés,…), j’ai pris ma vie en main et négocié une rupture conventionnelle!

Par contre, comme je te l’écris plus haut, je n’avais même pas de plan B… 

La mélancolie a très vite laissé place à la peur et aux doutes. Ce qui n’est guère plus confortable!

Il me fallait un projet !

Pour réussir à me projeter, je me suis accordée un peu temps -une semaine précisément.

J’ai tout de suite su que j’allais avoir besoin de me vider la tête en m’occupant les mains.

Cette semaine-là, j’ai demandé à ma mère de venir à la maison.

Nous nous sommes adonnées à quelques activités manuelles, tel que le tricot, mais surtout à… TOI, ma chère passion!

C’est ainsi que je me suis rendue compte que tu m’avais toujours accompagnée, de près ou de loin.

Enfant, j’admirais ma grand-mère maternelle cousant avec enthousiasme des vêtements parfaitement réalisés. 

À cette époque, je récupérais les chutes de tissus qui jonchaient le sol pour habiller mes poupées. 

Ce qui est dommage, c’est que je n’ai jamais osé lui demander de m’apprendre.

Je pense que je considérais cette activité comme, exclusivement réservée aux adultes dotés d’un don…

Plus tard, tu es revenue dans ma vie par le biais de ma formation, le BTS en économie sociale et familiale. J’ai adoré te retrouver, et d’ailleurs, je me suis offerte une machine à coudre dès que j’en ai eu l’opportunité.

Je ne l’ai malheureusement pas sortie souvent, cette machine à coudre, car je ne me considérais pas douée. 

Comme si, savoir coudre nécessitait un don miraculeux de Dieu… 

C’est idiot, mais je n’envisageais pas encore que l’apprentissage me permettrait de réaliser de magnifiques confections.

Bref… Revenons à nos moutons, ne perdons pas le fil…

Au cours de la semaine passée avec ma maman, j’ai commencé ce projet couture pour ma fille.

C’est alors qu’une sorte de plénitude s’est emparée de moi. 

Tu m’as totalement transportée dans une autre dimension :

  • Une dimension dans laquelle le temps s’arrête complètement,
  • Une dimension dans laquelle le cerveau se dédie au moment présent, à l’ action immédiate.

C’était formidable !

Ma décision était prise, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vivre dans cette dimension !

Troquant l’idée qu’il fallait être douée pour faire de toi mon métier, contre une ouverture du champs des possibles, j’ai alors décidé de suivre une formation au CAP couture floue. 

J’allais vivre avec toi, ma chère passion!!! »

Te rends-tu compte? Tu m’as sauvée des méandres de la mélancolie que je craignais de vivre avant toi…

Alors, même si la vie d’entrepreneure n’est pas tous les jours facile et sereine, sâches que pour rien au monde, je ne retournerai en 2012.

Je vibre encore tellement pour toi, si tu savais!

Le dépassement de soi quotidien que je connais depuis toi, rend ma vie si lumineuse. Grâce à toi, j’accomplis des choses dont je ne soupçonnais même pas l’existence…

Depuis toi, j’ai autant envie de partager tes techniques, que le bonheur de t’avoir trouvée.

Merci ma chère passion!

 

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